Eddie Bonesire – Lut Caenen
Françoise Cludts – André Dael
Christian Sorg
Les artistes sont présentés par ordre alphabétique.
Eddie Bonesire
Né à Gand en 1956. Vit à Bruxelles et Berlin.
Formations:
- 1975-1980: ILMH/UCL (Bruxelles) – licence en traduction/interprétation
- 2017-2019: Ostkreuzschule für Fotografie (Berlin) – post-graduat (« master class ») en photographie, classe de Ute Mahler et Ingo Taubhorn
- Photographe et auteur
- Traducteur au Conseil de l’Union européenne jusqu’en 2015
- Depuis 2004, expositions en Allemagne, en Belgique, en Norvège, aux Pays-Bas et au Royaume-Uni
- Membre de l’Association professionnelle des artistes plasticien(ne)s de Berlin (BBK Berlin) depuis 2017
Publications:
- « Im Krieg sagtest du einmal … » (« Pendant la guerre, tu m’as dit un jour … ») (photographie et textes), Nicolai Verlag Berlin, 2015
- « Photoautomat » (photographie), avec Moritz Frei, Projektraum Heiddorf/Galerie Born, 2015
- « Mare Balticum » (photographie), Didier Devillez, 2013
- « 2.5D » (photographie), Didier Devillez, 2013
- « Secret Universe » (photographie), Didier Devillez, 2013
- « 8,2 km » (photographie et textes), Jan Verhoeven, 2009
- « Un jour, c’était la nuit » (fictions), Talus d’approche, 2006; Didier Devillez, 2013
Site web: www.ebonesire.net
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Lut Caenen
Het beeldend werk ontstaat uit het woord, woorden van Paul van Ostaijen, van Rimbaud, van Fernando Pessoa vooral. Altijd zijn het woorden die over hun randen tasten. Ze reiken verder dan hun betekenis.
Laag na laag worden ze geschreven. Onophoudelijk worden ze geschreven, met potlood, pen of pastel. Soms zijn het bliksemsnelle vegen op het blad, soms een eindeloos herhalen, altijd een meditatie in beweging.
De woorden verschijnen, vervormen en verdwijnen. Ze zijn er en dan weer niet. Zichtbaar onzichtbaar zijn ze. Een spoor in de stilte.
www.lutcaenen.weebly.com
CV in het kort
In België geboren. Leeft en werkt in België en Portugal
MA Filosofie, K.U.Leuven, België
Beeldende kunsten in RHoK, Brussel, België
Beeldend kunstenaar, docent, vertaalster (o.a. Portugese vertaling van Nederlandstalige theaterstukken, in samenwerking met acteur en auteur Filipe Ferrer). Onderzoekt het universum van tekens en stilte, in het schrijven/tekenen als een meditatieve beweging.
Groepstentoonstellingen:
- 2016 Gallery CCLXXXVII, Ieper, België
- 2016 AAA Stand Holder, Lisboa, Portugal
- 2017 Herbes folles, Galerie Albert Dumont, Brussel, België
Solotentoonstelling:
- 2016 Bazel (Kruibeke), Belgium
Publicatie: portretten van Kaapverdische batuquespeelsters in Finka Pé, O Feitiço do Batuque, ed. Centro Tomkiewicz (Associação Moinho da Juventude) met Grupo de Batuque Finka Pé, oktober 2017.
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Françoise Cludts
« Construire autour du vide, comme une peau vibrante, résonante, chargée d’émotions. Ecorce, carapace de l’intime, terre engobée, gravée, griffée, brûlée. Creux nourris de l’imaginaire, de ce qui est prêt à naître, à sortir de terre. »
Née à Bruxelles, Françoise Cludts y vit également et expose depuis 1978.
Etudes – Formation
1976 Graduat en Arts Plastiques, Ecole 75. Professeur: Michel Smolders
1982 Diplôme de l’Enseignement supérieur artistique de l’Académie des Beaux-Arts de Saint-Josse-ten-Noode. Professeur : Francis Dufe
1988 Cours de technologie des émaux à l’Académie de Charleroi. Professeur : Christian Mazy
1991 « Recherches Picturales » à l’Académie Internationale d’été à Libramont.
Divers stages de formation sculpture (taille de la pierre), verre, soudure, transfert d’images, etc.
Activités professionnelles
– Animatrice céramique aux Ateliers de la Rue Voot de 1981 à ce jour. Stages raku, cuissons primitives, tournage, technologie des émaux, fours papier. Organisation de conférences.
– Professeur de céramique à l’Académie de Molenbeek-Saint-Jean et de Tournai.
Expositions de ces dix dernières années
- 2000 « Laeken bouge », Bruxelles • « L’Atelier de la Dolce Vita », Saint-Josse-ten-Noode
- 2001 « De Rouge et de Noir », Etterbeek • « Le Bel Objet », Braine-l’Alleud
- 2002 ISELP, Bruxelles
- 2004 « Coup de Bols », Galerie Traces, Hastière-par-Delà • « 5 Céramistes », Ixelles
- 2005 « Parure et Culture », à Mons, à « La Vénerie », Watermael-Boitsfort • à l’Office du tourisme de la ville de Spa et aux Fêtes de la Saint-Martin, à Tourinnes-la-Grosse
- 2006 Projet « Batwa potiers », Bruxelles, Verviers, Raeren, Andenne, Vaals (NL)… • « Osons l’Art appliqué », Mons
- 2007 Zedes Art Gallery, Bruxelles • « Art appliqué, design et compagnie », Mons • « Les Fêtes de la Saint-Martin », Tourinnes-la-Grosse
- 2010 « Rencontres », « Le Rayon Vert », Bruxelles
- 2011 « L’Art dans la ville », Tournai • « Les Petits Formats », Artothèque, Woluwe-Saint-Lambert
- 2013 « Gefäss/Skulptur 2. Deutsche und internationale Keramik seit 1946 », Grassi Museum für Angewandte Kunst, Leipzig
- 2014 « Le Papier, autour et alentours », WCC-BF, Mons • « Exposition des animateurs des Ateliers de la rue Voot », Médiatine. Woluwe-Saint-Lambert
- 2015 « Transfrontaliers », Villeneuve d’Ascq
- 2016 « Fêtes de la Saint-Martin »
Contact : francoisecludts@yahoo.fr
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André Dael
Lire n’est pas cette opération, quasi automatique, par laquelle nous condamnerions notre regard à suivre sur une page un fil jusqu’à son bout. Fil qu’il suffirait à notre regard de laisser dérouler placidement pour en saisir tout ce qu’il tisse.
André Dael écrit. Il ne dessine pas, ne peint pas, n’élabore pas une œuvre plastique. A l’encre de Chine, dans des « cases » de tailles diverses, il écrit. D’un espace l’autre, en leur sein ou en débordant, se devinent des reliefs, des forêts, des eaux, des villes, des êtres parfois. Il arrive que les cases se brisent, que des halos en sourdent.
Que signifie porter un regard ? Qu’est ce qui en rompt la linéarité ? Quels rapports entretiennent tout et parties ? Qu’est-ce que lire ?
André Dael écrit, et nous le lisons. Et son écriture, comme seules celles qui vaillent, interroge notre lecture. Et nous invite subtilement à l’affiner et à en renouveler le sens.
Christian Sorg
Biographie
- 1957 : Installe son premier atelier dans la propriété familiale d’Issy-les-Moulineaux
- 1959/1960 : Milite contre la guerre d’Algérie, la colonisation et le service militaire
- 1958/1965 : Fréquente assidûment le Cabinet des dessins du musée du Louvre
- 1961 : École Nationale des beaux-arts de Paris
- 1962 : Assiste à la 1re manifestation contre la peine de mort
- 1965 : Invitation à la Casa Vélasquez à Madrid
- 1972 : Première exposition personnelle au musée d’Évreux, ensemble de collages
- 1974 : Estime et amitié avec le peintre hongrois Judit Reigl
- 1975 : Rencontre l’écrivain et poète Marcelin Pleynet
- 1976 : Galerie Rencontres
- 1977 : Rencontre l’écrivain et poète Dominique Fourcade
- 1978 : Crée la revue Documents sur… Marcelin Pleynet en est le directeur artistique
- 1979 : Rencontre les écrivains et poètes Jacques Dupin et Jean Frémon
- 1980 : Exposition personnelle à la Galerie Cahiers d’art, Paris
- 1981/1990 : Galerie Regards, Paris
- 1983 : Rencontre l’écrivain Hubert Lucot. Pose la question du réel dans sa peinture
- 1989/1990 : Galerie Clivages, Paris
- 1990/2001 : Galerie Zographia, Bordeaux
- 1990 : Rencontre l’écrivain et poète Yves Peyré
- 1992 : Invitation à la fondation Noésis à Calaceite (Teruel) en Espagne
- 1993 : Rencontre l’écrivain, poète, critique et traducteur de Dante, Angel Crespo
- 1994 : S’installe dans de grands ateliers à Fontenille, près de Vézelay, en Bourgogne
- 2001 : Rencontre l’écrivain et poète catalan Àlex Susanna
- 2004 : Rencontre l’écrivain Christian Limousin
- 2008 : Rencontre les écrivains Michel Bohbot et Daniel Leuwers
- 2010 : Invité au musée de la gravure espagnole Goya à Fuendetodos (Aragon) pour une série de cours à l’atelier Antonio Saura El trazo y el rastro del gesto en la estampa, el monotipo.
- Depuis 2012 : Galerie SchummBraunstein, Paris
- Depuis 2014 : Galerie Albert Dumont, Bruxelles
Expositions personnelles depuis 2000
- 2014 : Centre d’Art Contemporain de la Matmut, SORG, XXIe siècle, la nature même de la peinture, Saint-Pierre-de-Varengeville • Musée des Beaux-Arts de Rouen, présentation d’un tableau grand format, Rouen • Galerie Schumm-Braunstein, Œuvres sur papier, présentation du livre La Voie de la figue, texte Yves Peyré et illustrations Sorg, collection « Livre de dialogue », 25 exemplaires, avril-mai, Paris • Galerie Albert Dumont, Peintures, Bruxelles, Belgique
- 2013 : Galerie La Louve, Paysages, Louftémont-Léglise, Belgique
- 2012 : Galerie Dufay-Bonnet, OEuvres récentes, à l’occasion de la parution du n°76 de la revue Chimères, éd. Erès, Paris • Galerie Schumm-Braunstein, Peintures, du 15 septembre au 30 octobre, Paris
- 2011 : Espace muséographique Georges-Baccrabère Toulouse
- 2010 : Galerie Regards-Jacqueline Boissier, Paris 2010, œuvres récentes, Paris • Institut français, Travellings Paris-Calaceite-Vézelay-Barcelone, Barcelone, Catalogne • Galerie du Grand T, Nantes 2010, oeuvres récentes, Nantes • Bibliothèque du Grand T, Suite Fuendetodos, monotypes, Nantes
- 2009 : Arsenal de l’abbaye Saint-Jean-des-Vignes, Christian Sorg, oeuvres récentes
- 2000-2009, musée de Soissons • Médiathèque GastonChaissac, Monotypes et dessins récents, Avallon
- 2008 : Castillo de Valderrobres, Pinturas, Christian Sorg en el bajo Aragon 1992-2008, museo de Teruel, Espagne • Museo Juan Cabré, Obras en papel, Teruel, Espagne • Abattoirs, Avec la nuit : oeuvres récentes, Avallon, Bourgogne
- 2006 : Galerie du Saint-James, Bouliac, Gironde
- 2005 : Fondation Zervos, Tierra de Calaceite, Espagne • La Goulotte, Vézelay, Bourgogne
- 2002 : Musées de Sens, Palais synodal, de juin à septembre, Christian Sorg : peintures
- 1986-2002, Bourgogne • Galerie Zografia, Bordeaux
Dans les collections
En France, notamment : Fonds Régional d’Art Contemporain d’Alsace | Fonds Régional d’Art Contemporain de Haute-Normandie | Fonds Régional d’Art Contemporain Midi-Pyrénées | Fonds National d’Art Contemporain Paris | Musée d’Art moderne de la ville de Paris | Musée d’Art moderne de Saint-Étienne | Musée national d’Art moderne, Centre Georges Pompidou, Paris | Musées de Sens | Musée de Soissons | Musée de Montbéliard | Musée des Beaux-Arts de Nantes | Musée des Beaux-Arts de Rouen | Musée de Clamecy | Musée d’Art moderne et contemporain, Les abattoirs, Toulouse | Centre régional d’art contemporain de l’Yonne, Fontenoy | Bibliothèque Nationale de France, Paris | Bibliothèque Kandinsky, Centre Georges Pompidou, Paris | Bibliothèque Gaston Chaissac, Avallon | Mairie de Brosses (Yonne) | Médiathèque d’Issyl-les-Moulineaux | Médiathèque de Montbéliard |Artothèque de Fontenoy-en-Puisaye, de Clamecy | Prieuré de Saint-Cosme,La Riche |Fondation Zervos, Vézelay | Fondation Colas | Banque Nationale de Paris | Banque Worms |
À l’étranger : Museo de arte, Tolima, Colombie | Museo Pablo Serrano, Zaragoza, Espagne | Museo Goya museo del grabado español, Fuendetodos, Espagne | Museo Juan Cabré, Calaceite, Espagne | Museo del dibujo de arte contemporaneo español, Larrés Huesca, Espagne | Museo de Teruel, Espagne | Fundacion Noésis, Calaceite y Barcelona, Espagne | Institut français de Barcelone, Espagne | Posta muzeum, Budapest, Hongrie |
Dans de nombreuses collections privées en France, en Espagne, en Allemagne, en Italie,aux États-Unis, au Luxembourg, en Belgique et en Angleterre.
EXTRAITS DE CATALOGUES
Extraits du Catalogue de l’exposition « SORG, XXIe siècle, la nature même de la peinture » présentée au Centre d’Art Contemporain de la Matmut, Saint-Pierre-de-Varengeville, avril-juillet 2014
Extrait du texte Peindre pour dire le monde, Sylvain Amic
« Christian Sorg est là pour dire le monde en peignant. Ni triomphe, ni héros, ni gloire dans ses tableaux, mais ce qui gît là, dans notre rapport au réel, cette chose impalpable, ce trouble familier, ce petit ébranlement des sens qui, de façon très fugace, nous fait nous sentir étrangement présents dans l’ici et le maintenant »
Extraits du texte Le Journal ininterrompu de Christian SORG, Annie Cohen-Solal
(…)Au fil des années, entre pérégrinations à l’écart des institutions et interminables confrontations avec les maîtres du passé, l’œuvre de Christian Sorg s’est affirmée avec la création d’un véritable langage pictural produisant un vocabulaire, une syntaxe et une rhétorique propres. Et l’artiste s’est peu à peu imposé dans la restitution d’un réel, avec une puissance et une assurance qui fascinent dès le premier regard…
(…)De plus, comment ne pas souligner que, chez ce peintre abstrait qui conserve avec le sujet un lien, même ténu, les tableaux s’affirment tout autant comme des portraits que comme des paysages, sans être ni l’un ni l’autre ? Nul horizon à discerner, nulle figure humaine à découvrir(…)
(…) La « pâte même des choses » dont parlait encore Sartre dans La Nausée nous assaille à travers le travail de Christian Sorg, parfois d’une manière feutrée et aérienne, parfois d’une manière beaucoup plus brutale frappant directement à l’estomac… Par certains aspects, il est Européen, riche de toute la mémoire de l’Ancien Monde et des innovations les plus récentes de ses pairs. Certains y verront une inspiration arabe, d’autres lui assigneront une inspiration asiatique, sans pouvoir lui assigner une ascendance certaine. Sorg est à l’écart, assez pour tout embrasser et pour n’être pas distrait par d’autres considérations que celle de son œuvre.
Extraits du texte Le sismographe de Christian SORG, Alex Susanna
Au fil du temps, la joie s’est instillée dans l’œuvre de Christian Sorg, à mesure qu’elle s’ancrait dans la terre. Tandis que les jours passent, yeux mains et tête agissent de façon plus coordonnée, précise et émotive. Plus convaincante. Comme si le peintre était un sismographe à travers lequel la réalité résonne, s’écrit et s’interprète….
… Bannissant toute connexion avec les vains discours, l’un des maux les plus répandus de notre temps, il s’est reclus dans un mutisme des plus féconds. « Oublions les mots », semble-t-il nous dire avec ses yeux rapaces, oublions les discours postiches, ayons le curage de tout miser sur une feuille de papier ou une toile. Peignons comme si nous étions les premiers à le faire. Désapprenons tout ce que nous savons, ce poids insupportable, et repartons à zéro, avec autant d’humilité que de ténacité.
Réapprenons à regarder et à être reconnaissant envers tout ce qui alimente nos sens, depuis les première clartés de l’aube jusqu’à l’heure où le corps se rend. … L’artiste ne connaît pas d’autres horaires que ceux de l’engagement absolu. Il arpente les sentiers les plus poussiéreux jusqu’à sentir que le courant passe. Toute son œuvre découle de cette capacité à interagir viscéralement avec la vie d’un paysage.
Catalogue publié à l’occasion de l’exposition
Christian Sorg œuvres récentes, 2000-2009
organisée par le Musée de Soisson, avril-juin 2009
Extrait du texte « Itinéraires de Christian Sorg », Jean-Paul Ameline
Comme beaucoup de peintres dont le travail commence au début des années soixante-dix, Christian Sorg a été partie prenante d’un moment très particulier de l’histoire de la peinture en France, celui d’une refondation de l’abstraction par le retour aux constituants essentiels du tableau. Sa rencontre avec Marcelin Pleynet en 1975, son travail en collaboration avec lui à la revue Documents sur…(1978-1980), ses premiers propos publiés dans ses catalogues attestent cette volonté de renouer avec les fondamentaux du travail du peintre, volonté alors commune à de nombreux artistes de sa génération. Couvrir une surface par la couleur, la diviser pour y travailler l’espace, y inscrire une trace pour saisir à la source ce qui « fait » un tableau tout en refusant les séductions d’une géométrie en dérive vers le décoratif : voilà des préoccupations qui se retrouvent aisément alors dans le milieu des artistes auxquels Sorg sera confronté, aînés immédiats comme les peintres de Supports/Surfaces ou contemporains….En ce début des années quatre-vingts, , une touche rapide et nerveuse lui rend sa vitalité et son éclat à travers des graphismes libres qui imposent leur présence sur la toile…L’espace pictural que restitue Sorg est un chaos visuel mais c’est déjà l’écho du chaos du réel – celui de l’espace, de la lumière, de la profondeur – sur la vision…Les harmonies colorées auxquelles Sorg parvient, les chaos de formes qu’il bâtit correspondent aux paysages qu’il a réellement vus mais c’est parce que ces mêmes harmonies et ces mêmes chaos ont trouvé un écho en lui, dans sa relation physique à la peinture, qu’il peut s’en approcher et en chercher une transposition adéquate. La construction tantôt puissante, tantôt légère de ses tableaux n’est pas seulement imputable aux paysages vus. Elle l’est surtout au mode d’appropriation choisi par Christian Sorg, celui d’une gestualité de tout le corps qui peut passer par l’extrême violence comme elle peut passer par l’extrême délicatesse, par la plus grande brutalité, ou par le plus grand raffinement.
De 1980 à 1990 Christian Sorg exposera très régulièrement à la galerie Regards Pierre et Jacqueline Boissier
ARTISTE
Herbes folles
Eddie Bonesire
Lut Caenen
Françoise Cludts
André Dael
Christian Sorg
DATE
Du 17 novembre
au 17 décembre
2017